Le temps passe, le chaton mignon a grandi avec nous. Nous nous sommes
habitués réciproquement à vivre ensemble. Après toutes nos interrogations.
Etudiante, j’avais envisagé adopter un chat, sans passer à l’acte. Les
enfants grandissant et leur envie d’animal également, la question s’est de
nouveau posée. Je ne tenais pas vraiment à cette contrainte et je m’y suis
opposée plusieurs années.
Et puis, le déclic. En vacances dans un gîte en Auvergne l’été dernier. Une belle soirée avec nos hôtes et des airs de piano, et un chat qui vient sur mes genoux et ronronne. Le coup de foudre. Le soir même et une grande partie de la nuit, je surfe sur mon téléphone et je me renseigne sur les différentes races et caractères. Je me suis posée des tas de questions sur le bonheur d’un chat en appartement. Et rapidement, il s’est avéré qu’un chat de race correspondrait à nos attentes enfant + appartement.
Coup de foudre pour le Ragdoll et le Sacré de Birmanie, un chat assez grand, au poil mi-long, aux yeux bleus. Calme, câlin et « poupée de chiffon » (traduction de ragdoll) quand il est dans les bras. Restait à trouver LE chaton que l’on accueillerait. Et là, difficile de s’y retrouver dans la jungle d’annonces, de chatteries et autres publicités non sérieuses. Puis ce coup de cœur pour une photo, pour le texte de l’annonce si respectueux de l’animal. Le premier contact par mail avec la propriétaire a été chaleureux, elle a senti notre engouement. Et après le contact téléphonique, j’ai compris qu’elle nous choisissait comme famille d’accueil.
Et puis, le déclic. En vacances dans un gîte en Auvergne l’été dernier. Une belle soirée avec nos hôtes et des airs de piano, et un chat qui vient sur mes genoux et ronronne. Le coup de foudre. Le soir même et une grande partie de la nuit, je surfe sur mon téléphone et je me renseigne sur les différentes races et caractères. Je me suis posée des tas de questions sur le bonheur d’un chat en appartement. Et rapidement, il s’est avéré qu’un chat de race correspondrait à nos attentes enfant + appartement.
Coup de foudre pour le Ragdoll et le Sacré de Birmanie, un chat assez grand, au poil mi-long, aux yeux bleus. Calme, câlin et « poupée de chiffon » (traduction de ragdoll) quand il est dans les bras. Restait à trouver LE chaton que l’on accueillerait. Et là, difficile de s’y retrouver dans la jungle d’annonces, de chatteries et autres publicités non sérieuses. Puis ce coup de cœur pour une photo, pour le texte de l’annonce si respectueux de l’animal. Le premier contact par mail avec la propriétaire a été chaleureux, elle a senti notre engouement. Et après le contact téléphonique, j’ai compris qu’elle nous choisissait comme famille d’accueil.
Nous n'avons prévenu personne de ce coup de folie avant d’être sûrs de son
arrivée.
Et puis ce soir de fin septembre, à la nuit tombée, nous l'avons attendue.
Toute la famille dans le salon devant cette petite boule de poils qui peine
à sortir de son cocon. Si petite dans le grand salon. Un chat-bébé qui nous
suit partout, cherche notre attention, se pose toujours près de nous. Un besoin
de présence constant assez déroutant, nous qui avions une idée du chat
solitaire.
Puis, peu à peu, nous nous sommes habitués à elle et elle à nous. Nous lui avons ouvert les autres pièces de l’appartement. Elle s’est habituée à son territoire et est devenue plus indépendante.
Puis, peu à peu, nous nous sommes habitués à elle et elle à nous. Nous lui avons ouvert les autres pièces de l’appartement. Elle s’est habituée à son territoire et est devenue plus indépendante.
Elle ne reste jamais bien loin de nous. Elle fait partie intégrante de
la famille. Elle part en vacances avec nous sans problème, elle vit avec nous
tout simplement, et je n’imagine pas notre vie sans elle désormais.
Notre Lhassa, croisée Birman et Ragdoll, un an |
Un an plus tard:
J'aime comme elle nous attend quand on rentre à la maison, elle arrive en
miaulant et s’allonge sur le flanc pour se faire carresser.
J'aime comme elle nous regarde et cligne lentement des yeux quand on lui
parle.
J'aime comme elle se fait "poupée de chiffon" lorsque je la
porte.
J'aime sa douceur extrême dans mes bras et qu'elle pose une de ses pattes
sur mon visage.
J'aime quand elle attend que je me sois couchée pour venir se lover sur mes
pieds.
J'aime comme elle se fascine pour l'eau qui coule au point d'accourir dès
qu'elle m'entend arroser les plantes.
J'aime quand elle adopte une position de chasse pour bondir sur des proies
invisibles.
J'aime comme elle connaît mes habitudes par coeur au point de deviner mes
intentions ou mes déplacements.
J'aime la petite trace blanche au coin de la bouche qui lui fait comme un
sourire.
J'aime comme son pelage continue de se charger en nuances plus ou moins
sombres mois après mois, entre beiges et gris.
J'aime son petit ventre tout blanc, tout doux.
J'aime son petit ventre tout blanc, tout doux.
J'aime comme elle s'abstient, toujours, de sortir ses griffes avec moi.
J'aime comme elle se laisse couvrir de câlins avec toujours autant de
ronronnements et comme elle fait comprendre qu'elle en a marre en miaulement et montrant les dents.
J'aime quand elle cale sa petite tête dans la main de miss E et semble s'y abandonner
complètement.
Lhassa et ses positions de chat improbable |
Demain les chats... domineront le monde? |
Il y a un an, le bébé poilu, chaton aux grandes oreilles! |
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