Difficile de reprendre son souffle dans la
course effrénée du quotidien.
Métro, boulot, dodo. Se lever n’est pas un problème, mais lorsqu’il faut quitter le nid, on traîne.
Dans les transports, la rame est bondée, je n’ai pas le choix. Et le train qui ralentit ou s’arrête pour trafic perturbé, ça arrive. Le temps passe et je reste impassible, je lis, je m’enferme dans ma bulle, le retard n’a plus de prise sur moi. Peut-être la force de l’habitude ?
Les voisins qui se touchent, se poussent, s’énervent ou s’insultent me font de la peine. La foule fait ressortir une telle violence en chacun. Je ferme les yeux, je suis sur une plage corse, complètement absorbée par la beauté de la nature paisible.
Telle un automate, je poursuis mon chemin et j’arrive au bureau. Retard ou pas, personne ne relève. Paris blase, son quotidien n’étonne plus.
Des trajets dans les transports en commun à Paris où je ne garde que le beau :
le "Paradis blanc"dans le métro, le sourire de passagers inconnus, les dévoreurs de séries, les joueurs de Candy Crush, les musiques incongrues des écouteurs, les valises des débuts et fins de week-end, les lecteurs imperturbables, les conversations personnelles, les travailleurs fatigués. Et moi qui les observe.
Métro, boulot, dodo. Se lever n’est pas un problème, mais lorsqu’il faut quitter le nid, on traîne.
Dans les transports, la rame est bondée, je n’ai pas le choix. Et le train qui ralentit ou s’arrête pour trafic perturbé, ça arrive. Le temps passe et je reste impassible, je lis, je m’enferme dans ma bulle, le retard n’a plus de prise sur moi. Peut-être la force de l’habitude ?
Les voisins qui se touchent, se poussent, s’énervent ou s’insultent me font de la peine. La foule fait ressortir une telle violence en chacun. Je ferme les yeux, je suis sur une plage corse, complètement absorbée par la beauté de la nature paisible.
Telle un automate, je poursuis mon chemin et j’arrive au bureau. Retard ou pas, personne ne relève. Paris blase, son quotidien n’étonne plus.
Des trajets dans les transports en commun à Paris où je ne garde que le beau :
le "Paradis blanc"dans le métro, le sourire de passagers inconnus, les dévoreurs de séries, les joueurs de Candy Crush, les musiques incongrues des écouteurs, les valises des débuts et fins de week-end, les lecteurs imperturbables, les conversations personnelles, les travailleurs fatigués. Et moi qui les observe.
Santa Giulia, paradis sur terre |
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